Jeudi 17 décembre 4 17 /12 /Déc 07:18

TEMOIGNAGE D UN TRAVESTI QUI ME FAIT PENSER A MOI

Depuis l'âge de 14 ans, je m'étais découvert une attirance sans bornes pour les vêtements féminins. En effet, tard le soir, je feuilletais en tremblant les différents catalogues de prêt-à-porter de ma mère en m'imaginant revêtu de ces étoffes de différentes matières, de couleurs si variées et aux formes si originales.

En l'absence de mes parents, je passais alors mon temps dans la demeure familiale à dévaliser les armoires et les placards de ma mère afin de me travestir de pied en cap. Que de joie d'enfiler ces bas, porte-jarretelles, caracos, soutien-gorge, jupes, chemisiers ou robes…

Mon goût allait naturellement vers les matières soyeuses et satinées, mon style était pour le coup très BCBG : blouse de soie et jupe plissée, robe vaporeuse très fluide, guêpière satinée et négligé de soie. Ainsi vêtue je prenais des poses explicites devant le miroir de la coiffeuse ou de l'armoire et m'imaginait alors comme le jouet sexuel d'un ou plusieurs hommes ! ! Oui, ainsi habillée je ma découvrais homosexuel…ou le savais-je déjà avant ces expériences ?

Plus le temps passait et plus je me sentais frustrée. Mes petits week-ends travestis s'espaçais de plus en plus, pour enfin ne plus arriver.

Je me sentais mal dans ma peau, j'expérimentais les aventures hétéros mais sans vraiment m'y amuser, ce n'était pas désagréable mais il me manquait quelque chose ; je crois que je voulais me convaincre que j'étais " comme tout le monde ".

A 19 ans, n'y tenant plus, je voulais être sûr de ma " normalité ". Comme je voulais être très discret à ce sujet je n'en parlais évidemment à personne et je décidais de passer un autre cap de ma double identité. Je décidais donc de profiter d'un voyage de mes parents pour me préparer une petite soirée privée très complète.

En effet, le simple fait jusqu'alors de me travestir et de me masturber suffisait, avant que je l'interrompe, à épanouir ma sexualité. C'est pourquoi je préparais à ma nouvelle expérience un nouvel intervenant : un gode. J'étais alors persuadé que le simple fait de le présenter à mon orifice m'aurait convaincu que je n'étais pas fait pour ça.

A 19 heures, j'entrepris de raser le mince duvet de poils recouvrant mon corps. Nu et fraîchement rasé j'ouvrais la grande armoire de la chambre de mes parents, mes doigts couraient sur les tissus froufroutant et soyeux que je n'avais pas toucher depuis tant de mois. Je savais déjà ce que j'allais porter, le scénario de cette soirée était déjà conçu. Je mis donc sur le lit : une paire de bas de soie noir, une guêpière satin noire à volants, une blouse de soie rose à manches froncées munie d'une large collerettes et boutonnée dans le dos, du plus bel effet, et une jupe plissée en crêpe noire boutonnée sur le côté.

Je tremblais comme une folle, pourquoi cette réaction ? Plus j'enfilais ces atours plus mon émoi était palpable, une fois la jupe boutonnée, je passais une large ceinture autour de ma taille et me regardais dans le grand miroir de l'armoire…je me trouvais très belle mais je devais parachever cette transformation complètement.

Je m'asseyais, en croisant les jambes bien sûr, sur le siège devant la coiffeuse. Je sortais des tiroirs quelques bijoux et quelques boîtes de maquillage. Je mis très longtemps à me farder, c'était la première fois que j'allais aussi loin dans mon travestissement. Du fond de teint, fard à joues, fard à paupières, et bien sûr, du rouge à lèvres brillant. Le plus dur avait été de me vernir les ongles. Enfin, mon choix alla naturellement vers un collier de perles blanches, un bracelet plaqué or et quelques bagues. Heureusement ma mère avait aussi des boucles d'oreilles clippées, mes oreilles n'étant évidemment pas percées. La touche finale était de mettre les mules de ma mère.

L'image que je voyais alors m'a bouleversé à vie, encore maintenant je m'en souviens parfaitement. Je me trouvais magnifique, désirable, charmante, féminine…femme ! !

Il était environ 21 heures, j'avais mis près de deux heures à me préparer. Mais la soirée ne faisait que commencer.

Afin de me calmer je me masturbais violemment une bonne fois en me regardant dans le miroir de la coiffeuse. J'éjaculais abondamment en prenant soin de ne pas souiller mes si beaux habits. Plus tranquille je donnais suite à cette soirée.

Tout d'abord une vraie femme d'intérieur se doit de préparer le repas. Je mettais donc le tablier de la cuisine autour de ma taille, déjà si serrée par la guêpière et la ceinture. Je faisais un gros nœud sur mes reins en serrant bien fort, j'étais divinement engoncée. J'avais prévu un dîner simple avec lequel je ne risquais pas de me tacher.

Pendant que ça cuisait, je mis le couvert dans la salle à manger en n'omettant aucun détail. Je mangeais alors en prenant inconsciemment la place de ma mère, mes gestes étaient précieux presque trop naturels. Je faisais semblant de m'intéresser à la télé que j'avais allumé.

Une fois terminé, et après avoir fait la vaisselle, je m'assis dans le canapé avec un café pour regarder la fin du film. Le compte à rebours avait commencé…

Le générique de fin venait à peine de commencer quand j'éteignis la télé. Je me dirigeais d'un pas assuré dans la chambre parentale et tamisait la lumière avec quelques foulards. Je me déshabillais en gardant la guêpière, les bas et les bijoux. J'enfilais alors un déshabillé vaporeux en soie du plus bel effet aux manches bouffantes froncées aux épaules et aux poignets. Je serrais encore une fois très fortement la ceinture. Les volants de ce vêtement rajoutaient une touche féminine indéniable.

J'allais chercher le gode dans mes affaires, je me l'étais procuré la veille dans un sex-shop, une autre aventure que je vous raconterais peut-être un jour, et je revins dans l'antre du plaisir. Je savais où mon père cachait ses films X et j'essayais donc de trouver un titre qui me plairait . Le choix fait, j'enclenchai la cassette dans le magnétoscope et appuyai sur lecture.

Je m'installais, langoureuse, sur le lit, et regardais cette œuvre épique enfin prête à savoir si oui ou non j'allais franchir le pas de la pénétration.

Il devait être environ 23 heures 30 , je caressais doucement ma verge en regardant d'un œil le film, où une " baronne " en levrette savourait une queue de ses lèvres pendant qu'une autre agitait son postérieur, et d'un autre œil mon reflet dans le miroir. J'étais splendide.

Tout à coup, l'homme qui était derrière elle arrête son coït et se fraye un chemin dans les dessous froufroutant de la bourgeoise. Il commence à masser lentement la rondelle de la soumise et y enfonce le pouce, déchirant un râle de la baronne. C'est le moment…

J'écarte les pans de mon déshabillé et mes cuisses au milieu desquelles s'érige alors toute ma virilité, assez anachronique, et je me mets à masser moi aussi mon œillet. Pourquoi est-il si humide ? L'étalon présente son gland devant l'anus de sa partenaire qui ne cesse de sucer le deuxième larron. Il force les sphincters de la femme et rentre entièrement sa verge dans son cul…

Je suis cette femme…je le sais maintenant…je m'empare du gode, je le lèche abondamment, je pose une noix de crème nivéa à l'entrée de mon intimité et me pénètre d'un coup de cette bite factice comme si je faisais ça tout les jours. C'est extraordinaire, après quelques secondes de douleur, alors que je vois maintenant le garçon enculer la comédienne en ahanant, le fait d'avoir cette chose en moi me comble de bonheur.

Je fais coulisser lentement cette bite dans mon anus accueillant et accélère mon mouvement de va et viens….C'EST BON ! ! C'est ça que je voulais je le sais maintenant mais je devais le mériter. Je regarde dans le miroir, où suis-je ? Suis-je cette femme qui se tortille de jouissance ? Oui ! ! Comme dans le film je me défonce le rectum en criant mon bonheur…je me prends à me traiter de différents noms à haute et intelligible voix :

-" Je suis une belle salope ! ! J'aime ça, j'aime me sodomiser ! ! Je suis une sale garce ! ! C'est ça que je voulais depuis si longtemps, sentir une bite dans mon cul, la sentir coulisser dans mes entrailles et me défoncer… "

Au moment où l'acteur jouis, je jouis en même temps que lui, elle, eux tous. Mes testicules explosent, des jets de sperme fusent et j'ai l'impression que j'éjacule des litres de semence. Pendant quelques secondes je ne touche plus le sol, je suis ailleurs, ma tête va éclater….

Pantelante, je m'effondre sur le lit. Le gode est toujours planté dans mon anus, mais il y est bien. Au bout de quelques minutes, je décide de le déloger et écarte mes cuisses de face devant la glace, je le vois parfaitement bien, je me regarde, je suis heureuse. Je le retire doucement de son fourreau et m'aperçois étonnée que mon œillet reste béant. Le plaisir anal est donc mon seul vrai plaisir…je suis anal…je suis homosexuel…je suis un travesti…il ne me reste plus qu'à vivre avec…
 


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Par SoniaTravesti68
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Commentaires

récit agréable ,j'ai eu la même approche a la difference qu'il m'a fallu sortir et me montrer aux autres ,une fois totalement féminisée ,tout en rose des pieds a la tete je suis descendue dans la rue par l'escalier de l'appartement arrivéedans le hall ,un couple devoisins de palier étaient là quelle surprise pur eux de voir arriver cette poupée en jupons et robe courte ,ils ne me reconnaisse pas ,Bonjour dis je je suis votre voisin ,mais mais tu es !!!!!
oii je suis françois euh !!! j'étais car me voici tel que je suis "Murielle" une petite transgenre ,l(homme rete sans voie ,sa femme car contre est trés satisfaite
mon dieu que tu es mignon ,dit'elle en me relevant ma robe ,tu as même mit des jarretelles et des bas de nylon magnifique regarde Roger cette beauté ,Roger était scotché en apercevant ma bite environnée de dentelles ,allez ma belle remonte chez nous prendre un café ,ils étaient
gentils cela me mit en confiance assise au salon je me mis a parler j'ai honter mais c'est ainsi que je suis et je me sens si bien , photos de moi etc me retirant ,ils me firent promettre de recommencer et venir chez eux ,de retour a l'appartement je pleurais de bonheur ma bite était toute gonflée et je ne pouvais pas redevenir un garçon , apres deux heures a me branler et a me redarder dans les glaces , ne tenant plus je sonne chez les voisins Roger ouvre la porte il m'embrasse viens ma cherie il me tate le sexe tu es toute molle
je vais t'arranger cela il va ds la chambre et revient avec un objet en plastique !! reléve tes jupons je vais te poser une petite cage heureuse qu'il s'occupe de ma verge il me pose cette "cage sur ma bite l'anneau autour des couilles me serre un peu et puis il me huile la tige tout en décalotant mon gland il fourre celui ci dans le tube ,l'etrémité est ouverte ,mon gland ressort par le bout ,il pend a l'exterieur ,une sensation étrange me transperce la tête voila ma belle tu es encagée tu peux bander mais fini de te masturber sa femme est maintenant a coté de nous Murielle tu vas rester comme cela jusqu'a ce que nous decidions de te libérer ,mais pour cela tu vas aller acheter des cigarettes au tabac tu vas aller là bas dans cette tenue et sans culotte , mais je !!! tu vas et de suite un billet de 20 euros et hop je vais dans la rue je me sens si femme et puis cette cage qui enferme mon sexe c'est trés exitant ,mon gland se remet a bander heureusement que ma petit robe est évasée ,on ne voit pas la bosse que doit faire ma bite , je marche et mes couilles deviennent enormes ballotent sur mes cuisses c'est absoluement merveilleux ,du coup je passe devant le tabac sans m'arreter ,j'aime me promener ainsi ,je n'ai jamais eu autant de plaisir je serre les cuisses tout en me palpant la bite a present je sens que je n'ai pas besoin de me branler pour ejaculer continue de marcher en serrant tes cuisses me dis je marchant a tous petits pas je sens que je vais avoir une jouissance peu de monde dans cette partie de square je reléve mes jupons la tension monte de pas en pas remontant encore mes jupons j'aperçois mon gland tout rouge prés a cracher encore quelques pasd ,je léve les yeux un homme vient vers moi ,c'est trop fort j'éjacule de longs jets de liqueur jaillissent retombant sur le sol l'homme a tout vu salope tu es une salope il est furieux il me donne une gifle mes jupons sont baissés je pleure mais euh!!! ne dis rien petite salope j'ai tout vu regarde tu a encore du sperme qui goutte entre tes jambes ,en effet des gouttes se deposent sur mes bas allez rentre a la maison ,et donnes moi ton telephone ,je vais te rappeler
toute honteuse je retourne j'achete les cigarette ,personne ne me reconnais
l'appartement est a deux pas j'entre Roger m'attend avec sa femme ,c'est bien ma jolie montre moi ta bite OH mais tu t'ai branlée !!!! sa femme me redonne une gifle salope il ya du sperme sur tes bas repond non je n me suis pas branlée c'est venu tout seul rien qu'en marchant puis ce que c'est comme cela ,tu vas sucer Roger allez petite garce je n'avais sucer mqais j'en revais a genoux me voila a enfourner la bite a Roger c'est ma premiere pipe il me donne des conseils aprés un bon moment il m'a cracvher son sperme que j'ai dû avaler j'ai aimé sa femme m'a ensuite lavé la bite ,Murielle tu vas me sucer a mon tour allongée sur le lit sa femme est maintenant en porte jarretelles devant moi ses seins sont maintenus dans un soutien gorge dont les bonnets percès laissent sortir les tétons e beaux gros tétons aux areoles larges et colorées
allez chevauche moi, en position 69 je m'installe et commence a titiller ses levres avec ma langue c'est la premiere chatte de ma vie elle me guide le jeu l'éxite elle me suce le gland c'est parfait elle commence a couinner Robert se masturbe devant nous en quelques minutes nous avons jouis tous les trois
tu vas prendre une douche avec nous desabilles toi j'ôte tous mes vetements ,ma perruque ,il ne reste que la cage je me sens si nue humiliée tous deux soint egalement nus ,la douche fut un moment agréble sa femme me lavant totalement elle est trés belle
ensuite je dois m'habiller de nouveau et me maquiller ,rentres chez toi et reviens demain , euh oui mais la cage ,,,,, non tu dois la garder on verra demain si tu es gentille
une fois chez mes parents je reste immobile vidée , je pleure car je viens de comprendre que je serai maintenant une transgenre pour la vie
j'en suis heureuse maiscomment faire devant ma famille
tombant de fatigue je me suis endormie du bruit zut mes parents arrivent deja ma mére est dans la chambre alors ma chérie tu as passé une bonne journée ? cachée sous les draps je tremble de peur elle arrache les draps lèves toi et viens voir ton Papa je reajuste ma perruque tu es si mignonne viens papa lme prend dans ses bras ne pleure pas ma chérie
nous sommes enfin contents de te vboir tel que tu es ,mainternant tu seras ntre fille Murielle ,pour tout te dire ta mère et moi sommes au courant de tes tendances aussi nous avons décidés avec les voisins de te faire faire ton coming out ,voila c'est fait t si tu es maintenant heureuse d'etre une fille et bien tu feras comme tu veux
c'est zinsi que je suis devenue Murielle a l'age de 16 ans
commentaire n° :1 posté par : murielletv77 le: 06/02/2014 à 10h18
Nous éprouvons les mêmes sensations chère Sonia.
Tu verras sur mon site que j'ai écris presque mot pour mot ton récit.
J'évoque également de nombreux jeux de rôles inspirés de mes expériences et de mes désirs.
J'aimerai connaître ton site afin de mieux te connaître et de pouvoir échanger.
sandratvtg
commentaire n° :2 posté par : sandratvtg le: 23/03/2016 à 08h48

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